Pourquoi les gens changent une fois qu'ils ont réussi ?
Leur succès est bien le fruit de leur oeuvres passées
Mais qu'est-ce qu'ils leur prend alors de changer ainsi
Une fois que tous leur efforts sont récompensés ?
Journal philosophico-poétique. Pages intimes d'une âme anonyme... Avant de reprendre la route vous êtes conviés à laisser vos impressions sur Arrêt Minute.
mercredi 30 avril 2008
Oh la vache!...
plus de douleur, plus de remord, plus de regret
c'est décidé
plus de jalousie, plus d'envie, plus d'implosion
c'est décidé
plus de projet, plus de tracasserie, plus de déception
c'est décidé
plus d'attachement, plus de nostalgie, plus de chagrin
c'est décidé
plus de coquetterie, plus d'apparat, plus d'orgueil
c'est décidé
plus de mesquinerie, plus d'hypocrisie, plus de mensonge
c'est décidé
plus de délire, plus de soupir, plus d'illusion
c'est décidé
plus de bruit, plus de stress, plus de pression
c'est décidé
tranquillement je vivrai
comme cette vache qui broute dans le pré...
c'est décidé
c'est décidé
plus de jalousie, plus d'envie, plus d'implosion
c'est décidé
plus de projet, plus de tracasserie, plus de déception
c'est décidé
plus d'attachement, plus de nostalgie, plus de chagrin
c'est décidé
plus de coquetterie, plus d'apparat, plus d'orgueil
c'est décidé
plus de mesquinerie, plus d'hypocrisie, plus de mensonge
c'est décidé
plus de délire, plus de soupir, plus d'illusion
c'est décidé
plus de bruit, plus de stress, plus de pression
c'est décidé
tranquillement je vivrai
comme cette vache qui broute dans le pré...
c'est décidé
dimanche 27 avril 2008
Valentine...
Valentine ma princesse tes yeux d'azur
Animent mes journées d'une douce lueur
La coulée de miel sur tes joues si pures
Eclaire mon univers d'intimes saveurs
Ne pleure pas ma poupée de velours
Ton visage posé sur mon cou songeur
Indique à nos coeurs la voie de retour
Nous voila dans un pays enchanteur
Et la vie nous entoure de mille couleurs...
Animent mes journées d'une douce lueur
La coulée de miel sur tes joues si pures
Eclaire mon univers d'intimes saveurs
Ne pleure pas ma poupée de velours
Ton visage posé sur mon cou songeur
Indique à nos coeurs la voie de retour
Nous voila dans un pays enchanteur
Et la vie nous entoure de mille couleurs...
L'amitié...
L'amitié un choeur joyeux qui fredonne la
chanson des souvenirs comme si c'était hier
L'amitié un livre précieux qui dessine là
des plages et des rires pour une vie entière
L'amitié un torrent qui ne déborde pas
et qui peut resplendir du tréfonds de l'enfer
L'amitié un moment qui arrose les pas
et fait grandir les jeunes vignes comme des vieux frères...
chanson des souvenirs comme si c'était hier
L'amitié un livre précieux qui dessine là
des plages et des rires pour une vie entière
L'amitié un torrent qui ne déborde pas
et qui peut resplendir du tréfonds de l'enfer
L'amitié un moment qui arrose les pas
et fait grandir les jeunes vignes comme des vieux frères...
lundi 21 avril 2008
Images...
Image du souvenir
et des ombrages
Image de l'enfance
à l'ombre du figuier
Image des fêtes
du village
Image de la belle
que j'adorais
Image de l'encens
qui se dégage
Image de l'horizon
depuis le sommet
Image des anciens
et des sages
Image d'un pays
ensoleillé
Image des cris
et des ravages
Image des tourments
par milliers
D'une guerre
qui n'a pas d'âge
Dans un paradis
oublié...
et des ombrages
Image de l'enfance
à l'ombre du figuier
Image des fêtes
du village
Image de la belle
que j'adorais
Image de l'encens
qui se dégage
Image de l'horizon
depuis le sommet
Image des anciens
et des sages
Image d'un pays
ensoleillé
Image des cris
et des ravages
Image des tourments
par milliers
D'une guerre
qui n'a pas d'âge
Dans un paradis
oublié...
dimanche 20 avril 2008
Essaie oui encore...
Essaie oui encore
de remettre les ressorts
dans les jouets éventrés
dont les viscères pourrissent
au soleil des efforts
Essaie oui encore
de ranger les pages
des passions surannées
dans des classeurs livides
à coté des remords
Essaie oui encore
d'enfiler les déceptions
dans un collier sordide
sur un thorax courbé
pour conjurer le sort
Essaie oui encore
de demander le chemin
de tendre la main
aux ruines de la vie
pour combattre la mort...
de remettre les ressorts
dans les jouets éventrés
dont les viscères pourrissent
au soleil des efforts
Essaie oui encore
de ranger les pages
des passions surannées
dans des classeurs livides
à coté des remords
Essaie oui encore
d'enfiler les déceptions
dans un collier sordide
sur un thorax courbé
pour conjurer le sort
Essaie oui encore
de demander le chemin
de tendre la main
aux ruines de la vie
pour combattre la mort...
lundi 14 avril 2008
Que faire ?
Si faible et impotent
Je ne fais que regarder
ce que les autres souffrent
dans leur chair...
Mais que faire
Le soir dans le silence
des lâches
Le jour dans le bruit
des indifférents ?
Je m'étonne encore
de voir la terre tourner
Tant les hommes font tout
pour l'arrêter...
La faim des uns
et la cupidité des autres...
La maladie des uns
et le mal être des autres...
La résignation des uns
et la folie des autres...
La douleur de celui qui meurt
et celle de celui qui le regarde
à la télé...
Sauver les plantes?
et les enfants alors !
Sauver les baleines ?
et les violées !
Sauver les emplois ?
et les vies !
Sauver le pouvoir d'achat ?
et le pouvoir de respirer !
Sauver la face ?
et les estropiés !
par la guerre...
par l'injustice...
par la misère...
Le monde sombre
dans une franche dégringolade
Le commun des mortels vit
dans une sombre rigolade...
Les sociétés démocratiques
ne servent plus qu'à payer
les congés
pendant que d'autres sociétés
prennent congé
de la vie ...
de la joie...
de la tranquillité...
de la dignité...
Boulimie de mort
pour ceux qui vivent
une vie qui n'a plus de goût
Boulimie de vie
pour ceux qui meurent
parce qu'il n'ont rien à goûter...
Le progrès technologique
dégrade l'identité humaine
Les arguments économiques
détournent le bon sens
Le poids médiatique
écrase les émotions...
Que faire ?
Dis-moi toi
qui es aux cieux
Que faire?
Je ne fais que regarder
ce que les autres souffrent
dans leur chair...
Mais que faire
Le soir dans le silence
des lâches
Le jour dans le bruit
des indifférents ?
Je m'étonne encore
de voir la terre tourner
Tant les hommes font tout
pour l'arrêter...
La faim des uns
et la cupidité des autres...
La maladie des uns
et le mal être des autres...
La résignation des uns
et la folie des autres...
La douleur de celui qui meurt
et celle de celui qui le regarde
à la télé...
Sauver les plantes?
et les enfants alors !
Sauver les baleines ?
et les violées !
Sauver les emplois ?
et les vies !
Sauver le pouvoir d'achat ?
et le pouvoir de respirer !
Sauver la face ?
et les estropiés !
par la guerre...
par l'injustice...
par la misère...
Le monde sombre
dans une franche dégringolade
Le commun des mortels vit
dans une sombre rigolade...
Les sociétés démocratiques
ne servent plus qu'à payer
les congés
pendant que d'autres sociétés
prennent congé
de la vie ...
de la joie...
de la tranquillité...
de la dignité...
Boulimie de mort
pour ceux qui vivent
une vie qui n'a plus de goût
Boulimie de vie
pour ceux qui meurent
parce qu'il n'ont rien à goûter...
Le progrès technologique
dégrade l'identité humaine
Les arguments économiques
détournent le bon sens
Le poids médiatique
écrase les émotions...
Que faire ?
Dis-moi toi
qui es aux cieux
Que faire?
Un peu plus chaque jour...
Avancer un peu plus
au réveil
Se lancer dans le réel
d'une trame tissée
depuis des jours
Un filet qui traine
les bribes des amours
Avancer un peu plus
dans la journée
Se lancer dans des projets
d'une futile utilité
qui font oublier
les perles égarées
Avancer un peu plus
le soir
Se lancer dans le noir
clair obscur imparfait
Et sombrer dans le sommeil
avec espoir...
au réveil
Se lancer dans le réel
d'une trame tissée
depuis des jours
Un filet qui traine
les bribes des amours
Avancer un peu plus
dans la journée
Se lancer dans des projets
d'une futile utilité
qui font oublier
les perles égarées
Avancer un peu plus
le soir
Se lancer dans le noir
clair obscur imparfait
Et sombrer dans le sommeil
avec espoir...
samedi 12 avril 2008
La vie...
La vie est simple
Si simple
Tellement simple
Que l'homme
La déforme
La complique
La manipule
Pour pouvoir se plaindre...
Si simple
Tellement simple
Que l'homme
La déforme
La complique
La manipule
Pour pouvoir se plaindre...
vendredi 11 avril 2008
Earthquake...
Les volutes de poussière s'accrochent à ses sourcils
Le muscle de son coeur sidéré grince en cadence
En arrière des oreilles son encéphale grésille
Comme ce poste de radio qui hurle de souffrance
L'air chargé de suie s'engouffre sans un seul bruit
Dans ses narines ouvertes pendues à son visage
Son front repose sur une paume striée par les cris
Sous les gravats son âme enterre toutes les images
Il est là, seul, alors que tout le monde s'affaire
Il les a tous perdus dans le ventre de la terre...
Le muscle de son coeur sidéré grince en cadence
En arrière des oreilles son encéphale grésille
Comme ce poste de radio qui hurle de souffrance
L'air chargé de suie s'engouffre sans un seul bruit
Dans ses narines ouvertes pendues à son visage
Son front repose sur une paume striée par les cris
Sous les gravats son âme enterre toutes les images
Il est là, seul, alors que tout le monde s'affaire
Il les a tous perdus dans le ventre de la terre...
jeudi 10 avril 2008
Naissance...
Emmitouflé dans la ouate
ce petit corps frêle saisit
les étincelles qui miroitent
dans les yeux verts ébahis
et les lèvres écarlates
de sa mère qui le chérit
C'est en elle que tout commence
Dans la chaleur et l'aisance
de son sein est enfouie
l'origine de la mouvance
et le moment référence
de l'adulte d'aujourd'hui...
ce petit corps frêle saisit
les étincelles qui miroitent
dans les yeux verts ébahis
et les lèvres écarlates
de sa mère qui le chérit
C'est en elle que tout commence
Dans la chaleur et l'aisance
de son sein est enfouie
l'origine de la mouvance
et le moment référence
de l'adulte d'aujourd'hui...
mercredi 9 avril 2008
Rétroviseur
Montrer aux autres qui j'étais
Je l'ai tellement voulu...
Désormais je ne sais plus
qui je suis...
Je l'ai tellement voulu...
Désormais je ne sais plus
qui je suis...
lundi 7 avril 2008
Parle leur de moi ...
Pourquoi fais-tu tant d'efforts
Pour ne plus m'apercevoir ?
Qui te donne des frissons ?
Qui te fournit en espoir ?
Qui te trouve les raisons
De te battre dans le noir ?
Ne promène plus ton corps
Brise un temps le miroir
Considère toi en dehors
Raconte mes histoires
Et mes présents qui décorent
Les chambres de ta mémoire
Dis-leur que je suis
Le seul à te voir
Le soir quand tu es tranquille
Dans la paix de mon regard...
Au dessus de la terre...
Sur fond bleu éclate le soleil
L'horizon n'a plus de limite
Un vol de nuages se réveille
Un vol de nuages se réveille
Les sommets enneigés l'évitent
Tant de beautés et de merveilles
Derrière mon hublot je médite
Le sang dans mes veines essaye
Ce coeur nouveau qui palpite...
Le sang dans mes veines essaye
Ce coeur nouveau qui palpite...
dimanche 6 avril 2008
L'esclave
Sa vigueur se perd dans un brouillard oppressant
Marchandise noire exposée sur un trottoir
Le flot des enchères sur son éclat vacillant
Couvre à moitié les hurlements de désespoir
Son acheteur est un piteux apothicaire
Dont le seul et unique mérite est d'être blanc
De sa famille effondrée il n'a rien à faire
Lui qui n'a jamais eu d'épouse ou d'enfant
Son âme est fataliste sa foi est en lambeaux
Sa douleur fait qu'il existe et le rend si beau
Qu'une force venue du ciel apaisa son calvaire
En le soustrayant à l'injustice de la terre...
Marchandise noire exposée sur un trottoir
Le flot des enchères sur son éclat vacillant
Couvre à moitié les hurlements de désespoir
Son acheteur est un piteux apothicaire
Dont le seul et unique mérite est d'être blanc
De sa famille effondrée il n'a rien à faire
Lui qui n'a jamais eu d'épouse ou d'enfant
Son âme est fataliste sa foi est en lambeaux
Sa douleur fait qu'il existe et le rend si beau
Qu'une force venue du ciel apaisa son calvaire
En le soustrayant à l'injustice de la terre...
samedi 5 avril 2008
Chronique d'une mort annoncée...
Les forces se vident
Les fibres se lassent
La chair est livide
C'est la mort qui passe
Le moment est là
Plus qu'une chose à faire
Quand la vie s'en va
Ramasser ses affaires
Avant de partir
Faut il retenir
Ou tenter d'oublier
Ce que l'on a été ?
A qui s'adresser
Mais à qui sourire
A qui expliquer
Le sens des soupirs
De ce temps qui passe
De l'amour si dur
A garder en place
Dans un écrin pur ?
Comment pouvoir les dire
Sans pour autant pleurer
Tant de souvenirs
Sont à enterrer
Au fond des tiroirs
Écrire quelques lignes
Pour que l'au revoir
Reste vrai et digne
Regarder sans une larme
Aimer sans oublier
Les visages qui s'alarment
De tous les bien-aimés
C'est inévitable
Il faut y aller
S'asseoir à la table
De la destinée...
Les fibres se lassent
La chair est livide
C'est la mort qui passe
Le moment est là
Plus qu'une chose à faire
Quand la vie s'en va
Ramasser ses affaires
Avant de partir
Faut il retenir
Ou tenter d'oublier
Ce que l'on a été ?
A qui s'adresser
Mais à qui sourire
A qui expliquer
Le sens des soupirs
De ce temps qui passe
De l'amour si dur
A garder en place
Dans un écrin pur ?
Comment pouvoir les dire
Sans pour autant pleurer
Tant de souvenirs
Sont à enterrer
Au fond des tiroirs
Écrire quelques lignes
Pour que l'au revoir
Reste vrai et digne
Regarder sans une larme
Aimer sans oublier
Les visages qui s'alarment
De tous les bien-aimés
C'est inévitable
Il faut y aller
S'asseoir à la table
De la destinée...
vendredi 4 avril 2008
Ils ont toujours raison...
Ils ont toujours raison
Chacun dans son recoin
Chacun dans sa maison
Ils ont toujours raison
Ce qu'ils font c'est bien
Ce qu'ils font est bon
Ils ont toujours raison
Sans souci aucun
Sans comparaison
Ils ont toujours raison
Ils sont aux petits soins
Ils sont au diapason
Ils ont toujours raison
Les êtres humains
Quand il y'en qu'un
Mais à partir de deux
c'est la foire aux cons...
Chacun dans son recoin
Chacun dans sa maison
Ils ont toujours raison
Ce qu'ils font c'est bien
Ce qu'ils font est bon
Ils ont toujours raison
Sans souci aucun
Sans comparaison
Ils ont toujours raison
Ils sont aux petits soins
Ils sont au diapason
Ils ont toujours raison
Les êtres humains
Quand il y'en qu'un
Mais à partir de deux
c'est la foire aux cons...
jeudi 3 avril 2008
Respiration
voltige
langueur
souffle
créateur
paupières
posées
autour
du coeur...
scintille
splendeur
instant
ferveur
grâces
étoilées
sur un ciel
sans heurt...
langueur
souffle
créateur
paupières
posées
autour
du coeur...
scintille
splendeur
instant
ferveur
grâces
étoilées
sur un ciel
sans heurt...
Une définition de l'orgueil
L'orgueil, c'est ce qui rend les paroles plus attrayantes que le silence...
mercredi 2 avril 2008
Défaire l'amour...
Les courbes si fines
d'une peau si belle
appellent vers elle
des caresses câlines
Ses yeux éblouis
par la vue sublime
la ramènent à lui
pour l'étreinte ultime
Puis ils se touchent
battent des paupières
effleurent les bouches
tremblent dans leur chair
Pour elle c'est parti
une douce trêve
un peu d'infini
entretient le rêve
Pour lui c'est fini
déjà il se lève
c'était une lubie
une pulsion brève...
d'une peau si belle
appellent vers elle
des caresses câlines
Ses yeux éblouis
par la vue sublime
la ramènent à lui
pour l'étreinte ultime
Puis ils se touchent
battent des paupières
effleurent les bouches
tremblent dans leur chair
Pour elle c'est parti
une douce trêve
un peu d'infini
entretient le rêve
Pour lui c'est fini
déjà il se lève
c'était une lubie
une pulsion brève...
mardi 1 avril 2008
Toc toc toc...
Il est passé en un clignement de paupière
et m'a caressé du souffle de ses ailes...
J'ai tout fait pour qu'il soit mon centre
pour respirer le parfum de son sillage
pour goûter aux vapeurs de son ombre...
J'ai tendu la main pour enlacer sa joue
fouiné avec mon cœur pour dévoiler son visage
rangé mes idées pour jouer inconscient
avec les élans de sa perfection...
Je l'ai appelé en regardant partout
Je me suis appelé en le regardant
Dans ses yeux sans fond, tout au bout
je me suis vu le rejoignant...
Que s'est-il passé en cette fraction de seconde?
Quelle onde surhumaine a traversé mon corps?
et m'a caressé du souffle de ses ailes...
J'ai tout fait pour qu'il soit mon centre
pour respirer le parfum de son sillage
pour goûter aux vapeurs de son ombre...
J'ai tendu la main pour enlacer sa joue
fouiné avec mon cœur pour dévoiler son visage
rangé mes idées pour jouer inconscient
avec les élans de sa perfection...
Je l'ai appelé en regardant partout
Je me suis appelé en le regardant
Dans ses yeux sans fond, tout au bout
je me suis vu le rejoignant...
Que s'est-il passé en cette fraction de seconde?
Quelle onde surhumaine a traversé mon corps?
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