Se sentir vivant sans excès ni détour
Juste vivant l'énergie qui entoure
Remuer le vent accueillir le jour
En prélevant le nectar de l'amour...
Journal philosophico-poétique. Pages intimes d'une âme anonyme... Avant de reprendre la route vous êtes conviés à laisser vos impressions sur Arrêt Minute.
jeudi 31 juillet 2008
mercredi 30 juillet 2008
Chemin faisant...
Condamné
Sans issue
Pas d'autre alternative
Que celle d'aimer
Sans retenue
Pour que l'homme vive...
Sans issue
Pas d'autre alternative
Que celle d'aimer
Sans retenue
Pour que l'homme vive...
mardi 29 juillet 2008
Tourner les pages...
Toutes ces images je les vois encore
Les doux visages voltigent dans mon corps
Il n'est point de nuage qui ne quitte le port
Sans laisser au passage un sens et des sorts
L'horizon et l'âge sans le moindre effort
Ramènent sur le rivage d'antiques amphores
Serties de coquillages aux histoires d'or
Dessinant les plages d'une île qui s'endort...
Les doux visages voltigent dans mon corps
Il n'est point de nuage qui ne quitte le port
Sans laisser au passage un sens et des sorts
L'horizon et l'âge sans le moindre effort
Ramènent sur le rivage d'antiques amphores
Serties de coquillages aux histoires d'or
Dessinant les plages d'une île qui s'endort...
lundi 7 juillet 2008
La relativité
Cette journée habituelle
De quelle couleur était-elle ?
Je me demande vraiment
Ai-je bien vécu ces instants ?
Ma vision était-elle réelle
Ou bien l'illusion cruelle
A berné mes sentiments?
Les pensées qui attirent
Et engendrent les plaisirs
Existent-elles vraiment?
Ou bien c'est fortuitement
Un manège qui s'amuse
Et fait tourner ses ruses
Sous mon crâne déhiscent?
De quelle couleur était-elle ?
Je me demande vraiment
Ai-je bien vécu ces instants ?
Ma vision était-elle réelle
Ou bien l'illusion cruelle
A berné mes sentiments?
Les pensées qui attirent
Et engendrent les plaisirs
Existent-elles vraiment?
Ou bien c'est fortuitement
Un manège qui s'amuse
Et fait tourner ses ruses
Sous mon crâne déhiscent?
samedi 5 juillet 2008
Humanoides
Automates de la marque humaine
Les rouages équivoques gangrènent
La mécanique de l'inconscient
La rhétorique glisse lentement
L'habitude installe sa rengaine
Et l'usure qui fige toutes les peines
Creuse l'indifférence du moment...
Les rouages équivoques gangrènent
La mécanique de l'inconscient
La rhétorique glisse lentement
L'habitude installe sa rengaine
Et l'usure qui fige toutes les peines
Creuse l'indifférence du moment...
vendredi 4 juillet 2008
Pèlerin
Pèlerin allongé dans les champs
Respire espère et ressent
L'humeur de la vie, la saveur de l'instant
Se déploie à la rencontre du présent
Qui s'étire et qui s'étend
Au delà du chemin et du vent...
Respire espère et ressent
L'humeur de la vie, la saveur de l'instant
Se déploie à la rencontre du présent
Qui s'étire et qui s'étend
Au delà du chemin et du vent...
Inscription à :
Articles (Atom)