mardi 6 mai 2008

Mauvais temps...

Le sommeil tiré par la voilure du désert
Respire les interrogations et les chimères

Le regard frigorifié par l'hardiesse du vent
S'endort sans résister à coté du néant

Le corps imperceptible des idées rescapées
Dérive ligoté par le grand maître des damnés

Lâcher à tout prix ces méandres empoisonnées
Larguer les amarres vers l'océan aéré

Où le soleil promet de se lever un jour...

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