samedi 30 janvier 2010

Johnny Walker

Il avance son corps
Dans un décor sans limite
Bousculés par le sort
Ses remords s’agitent
Le plis de sa chair
Et ses pensées débitent
Un chapelet de poussière
Un miroir qui s'effrite

L'action est un semeur 
Dont le geste est incertain
La prière est un labeur 
Dont le germe est enfoui
Le temps est un témoin 
D’un espace à moitié plein
Le spécimen est un humain 
Forçât de l'infini...

3 commentaires:

rori a dit…

je t'adore en gros mais beaucoup plus en détails

rori a dit…

je t'adore en gros mais surtout en détails

aurore beaini a dit…

je t'AdOrE ToUt CoUrT