lundi 15 décembre 2008

La nature humaine adore le vide...

Le vide absolu se pavane dans l'inutile
Le globe accélère ses rotations puériles
Les hommes s'empiffrent à satiété
Seules les bedaines sont bien lestées...

Tandis que les cœurs crient famine
Qu'importe, l'apparence est sauvée
Qu'importe, le sourire est affiché
Et voguent les méandres intestines...

Celui qui n'avance pas 

Recule, n'est-ce pas ?
Mais s’il avance dans le grand vide
Sait-il comment il finira ?

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